Dans plusieurs des situations à court terme, vous ne contrôlez pas le résultat, mais vous contrôlez votre attitude. EN gardant les bonnes attitudes en tête, on sait improviser les bonnes actions devant l’inconnu. A long terme ces attitudes vous conduisent aux résultats que vous voulez.
1- Le courage. Quel challenge, ai affronté consciemment même si ça me paraissait difficile au début ?”
Quand on parle de courage les gens pensent tout de suite au héros qui va sauver la princesse. Le courage c’est le choix d’affronter la peur ce n’est pas l’absence de peur. Le courage c’est d’abord une attitude et non un résultat. C’est d’abord une obligation de moyen et pas une obligation de résultat.
Vous n’aimez pas le sport ? Peut-être l’idée de courir trois kilomètres ne vous motive guère. Mais qu’avez -vous fait avant ? Avez-vous porté vos chaussures ? Etes-vous descendu de chez vous, Avez-vous marcher sur 100 mètres.
Peu importe si finalement vous courez ou pas en première intention, ce qui compte c’est de “voter” pas à pas pour l’intention de courir. A chaque pas, vous vous rapprochez de l’objectif en restant en restant en accord avec vous-même. Vous ne vous sentez pas coupable d’avoir abandonné sans avoir bataillé.
Exercez votre courage au jour le jour sur des petites choses et il vous servira quand les grandes choses se présenteront. Sous cet angle, chaque challenge devient une opportunité de le pratiquer.
- Aller dire bonjour à cette demoiselle
- Mettre un pied au sol lorsque vous n’avez pas envie de vous lever
- S’asseoir pour travailler sur une tâche que l’on n’aime pas.
2- L’acceptation de soi par compassion
L’acceptation de soi fait intervenir la vérité vis à vis de soi-même-même. Elle fait prendre conscience que dernière nos réflexes de critiques, de procrastination, se trouvent des insécurités que l’on essaie de cacher inconsciemment. Qu’il s’agisse d’accepter la peur, la culpabilité, le regret l’acceptation est le premier pas qui permet de les neutraliser.
Vous avez une histoire, celle-ci a un gros impact en vous. Elle compte. Ne cherchez pas à l’ignorez, ni à travers des comparaisons avec les autres, ni à travers des projections sur une meilleure future version de vous. Votre comportement d’aujourd’hui devrait vu comme un fait accepter comme tel. De cette vérité, vous pouvez avancer. Accepter ses faiblesses intérieures neutralise tout désir d’impressionner.
– Si vous avez du mal à prendre la parole en public, la première étape est d’accepter qu’insécurité de ne pas pouvoir répondre à toutes les questions, ou d’être humilié
Si vous la première est d’accepter que votre insécurité d’être abandonné
Si est agressif dans certains contextes, la première étape est d’accepter que tu peur d’être critiqué, que ton incompétence soit remar
Votre confiance réelle ne réside pas dans votre capacité faire semblant par orgueil, mais à rester vrai sans les fausses images édulcorées que vous vous faites de vous.
3- Le compromis ou le sacrifice
Sacrifier c’est se priver de quelque chose à laquelle l’on tient. L’on a donc tendance à résister à effectuer le compromis ou Sacrifier votre désir de vous divertir, sacrifier votre plaisir, sacrifier votre vision perfectionniste d’un résultat,
Mais ici nous parlons surtout de la sacrifier votre tendance maximaliste.
La plupart du temps vous ne disposerez pas de tout le nécessaire pour effectuer une tache (manque de compétences, manque de connaissances, manque de temps), vous devrez avancez malgré tout jusqu’à fournir un livrable. Vous devrez donc accepter des imperfections et effectuer des compromis difficiles. Si vous avez un coté perfectionniste ce sera une dure lesson à intégrer ; Le sacrifice fait intervenir une notion encore plus délicate: Le lâcher prise
Dans le livre le Pouvoir du Moment Présent, Ehart Tolle
Qu’Est-ce que je peux sacrifier maintenant, qu’est-ce que je peux sacrifier demain ? sont les questions qui doivent rester en tête de liste de vos priorités car elles détermineront votre vitesse d’évolution.
Heudou Tchhikou Aubin